Pour « remettre l’humain au coeur de la ville », il faudrait ‘intéresser aux « humains », c’est-à-dire aux habitants, commerçants et indépendants qui vivent ou travaillent à Bruxelles. Toutes choses que les partisans de Good Move, enfermés dans leurs certitudes, tout à la défense de « leur » quartier apaisé et ne voulant pas se confronter à une réalité qui dément leur discours, se sont bien gardés de faire.