Le parti éco-libéral flamand Groen revient à la charge avec des propositions qui ne font aucunement consensus parmi les Bruxellois, mais qui pourraient profondément transformer notre région. Voici ce qu’ils remettent sur la table.
Le retour de la taxe kilométrique SmartMove : une mesure punitive qui alourdit la charge financière des travailleurs et familles, tout en prétendant réduire le trafic. Elle impose des tarifs en fonction de la distance, des horaires, et même de la puissance des véhicules, surveillés par un réseau de caméras. Une intrusion massive et coûteuse pour les citoyens.
La fusion des communes et des zones de police : des projets mal ficelés qui risquent de détruire les spécificités locales au nom d’une rationalisation douteuse.
Ces décisions seraient poussées par un parti pesant à peine 4 % des suffrages à Bruxelles. Comment est-il possible qu’un poids politique aussi faible dicte l’avenir de près de 1,2 million de Bruxellois ?
Nous sommes face à des initiatives qui se parent de « transition écologique » mais ignorent les réalités sociales et économiques. Ce retour en force de SmartMove a déjà suscité des vagues d’opposition, et pour cause : ce modèle pénalise sans proposer d’alternatives crédibles ni de garanties sur la redistribution des recettes au profit de la mobilité.
Le moment est venu de s’opposer fermement à ces projets imposés d’en haut. Bruxellois, ne nous laissons pas faire !